La sécurité des enfants en bord de mer : 7 questions à Marcel, maître-nageur sauveteur

securite enfant mer

Ah… L’été ! La piscine, la plage, la mer. Quand on est parent la plage ce n’est pas uniquement se faire bronzer. C’est une vigilance permanente ! L’eau, le soleil, le sable… Il nous faut rester attentif et faire preuve de bon sens.

Pourtant en France, les noyades constituent un problème important de santé publique car elles sont responsables de près de 500 décès accidentels chaque été et, parfois, de graves séquelles.

Pour nous aider à faire le point, nous avons ce mois-ci posé vos questions à Marcel, maître-nageur sauveteur et bénévole à la Société Nationale de Sauvetage en Mer.

1) Comment se baigner en toute sécurité avec bébé ? Dans les bras, en bouée, brassards…? Et avec un enfant plus grand qui ne sait pas encore nager ? Qui sait nager ? Faut-il des bouées / brassards et à quel âge ? Et le gilet de sauvetage et les bateaux gonflables ?

La première règle de sécurité c’est l’hygiène, c’est-à-dire qu’il faut savoir dans quelle eau on se baigne.

Lorsque l’on est à la maison il n’y a pas de problème, mais il faut faire attention à la qualité de l’eau. Les eaux de rivières ne sont en revanche pas très bonnes pour la baignade.

En particulier avec les microbes, ou les métaux lourds il faut donc être très précautionneux sur la baignade en rivière.

En mer il y a moins de problème de qualité de l’eau qu’en rivière.

Pour la sécurité des bébés (moins de 1 an), il faut les avoir en permanence sous sa vigilance. En quelques secondes, un bébé peut mettre la tête sous l’eau et faire une noyade. 10 secondes suffisent. Un bébé ne maîtrise pas le poids de sa tête, donc dès que la tête est vers le bas, il risque de tomber et les voies aériennes (bouche et nez) vont être immergées dans l’eau.

Même si le bébé va faire de l’apnée quelques secondes ça ne va pas durer éternellement, c’est pourquoi il faut avoir en permanence une vigilance sur le bébé. On ne peut pas se permettre de le quitter des yeux, même se retourner pour aller chercher un portable qui sonne etc…

Pour la baignade

il doit rester dans les bras des parents en permanence et uniquement dans les bras.

Contrairement aux enfants, les bébés ne peuvent pas tenir la tête hors de l’eau, donc tout ce qui est brassards est à proscrire ! En permanence ce sont les parents qui doivent tenir leur bébé dans les bras.

Pour les enfants (à partir de 1 an), contrairement aux bébés, ils peuvent tenir la tête hors de l’eau. Ils peuvent donc porter des brassards à partir du moment où ils sont autonomes, c’est-à-dire que tous leurs muscles peuvent réagir et qu’ils peuvent se redresser.

Un enfant, même avec des brassards, ne peut rester seul dans une piscine : il doit être sous le contrôle visuel des parents.Trop souvent on voit des accidents où les enfants sont dans la piscine, les parents à table, et un enfant fait un début de noyade car çà va très vite aussi.

Les brassards sont plus sécurisants que la bouée car ils tiennent l’enfant au niveau des membres supérieurs donc il y a moins de chances qu’il puisse se dégager contrairement à la bouée où il suffit que l’enfant glisse et passe sous la bouée pour se noyer.

Il est possible d’avoir les deux mais les brassards sont plus intéressants en termes de sécurité.

Par contre, les brassards ont un gros inconvénient au niveau pédagogique pour l’apprentissage de la nage. Les maîtres-nageurs sauveteur évitent de mettre les brassards en piscine dans le cadre de l’apprentissage de la natation car le brassard se substitue à la flottabilité de l’enfant et ce dernier ne cherche plus à lutter contre le milieu naturel. La bouée est également déconseillée pour l’apprentissage de la natation car elle est gênante et occulte tous les mouvements.

Le gilet de sauvetage est obligatoire dans les bateaux et pour les activités de plein air (canoé, canyoning, planche à voile). Il est à proscrire dans une piscine ou à la mer car l’enfant se sent en sécurité et n’essaye pas de se mouvoir dans les milieux liquides, c’est anti pédagogique.

Le bateau gonflable est dangereux car s’il se retourne l’enfant va couler et la noyade est inexorable, il faut donc en avoir une utilisation intelligente en prenant des précautions.

A la piscine, ayez en permanence un contact visuel sur les enfants qui l’utilise. L’idéal est d’être à côté dans l’eau dans le cas où le bateau venait à chavirer.

En milieu naturel, le bateau gonflable est très dangereux si on ne respecte pas les règles de sécurité. En milieu fluvial, ne jamais utiliser de bateau gonflable là où il y a du courant.

En mer, les deux principaux dangers sont le vent de terre (le vent qui souffle de la terre et qui amène vers le large notamment sur la Côte Méditerranéenne avec un vent de Nord Ouest). Il faut donc se baigner dans les endroits qui sont sécurisés c’est-à-dire surveillés par des postes de secours et respecter les consignes de sécurité en particulier la couleur de la flamme qui est sur le poste de secours. Souvent une flamme jaune indique la nature du danger en particulier un vent de terre qui amène vers le large. Donc en plus des règles de sécurité pour la piscine (contact visuel permanent, présence dans l’eau à côté), pour l’utilisation d’un bateau gonflable en mer il est préférable de mettre une corde entre la personne qui est dans l’eau et le bateau.

De manière générale, si l’enfant ne sait pas nager l’enfant doit être équipé de brassard.

Cas particulier : les grands bateaux gonflables et notamment dans les canoës kayak gonflables le gilet de sauvetage est obligatoire.

Pour résumé les règles de sécurité :

  • Ne pas les quitter des yeux
  • Etre à proximité immédiate pour intervenir
  • Privilégier de vous baigner dans des endroits surveillés avec un poste de secours
  • Respecter la réglementation en vigueur

La signification des couleurs des drapeaux :

  • Rouge : Baignade strictement interdite
  • Jaune : Baignade dangereuse mais surveillée (température de l’eau qui est fraîche, vent de terre, courants, vagues etc.)
  • Verte : baignade sans dangers particuliers

Pour un enfant qui sait nager :

S’il est sur un bateau, il faut lui mettre tout de même les brassards car il peut paniquer ou s’il y a du courant, se faire emporter. S’il est à proximité des parents dans des lieux peu profonds ce n’est pas la peine de lui mettre les brassards. Au contraire au niveau pédagogique il vaut mieux le valoriser et l’accompagner dans sa progression sans brassards.

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2) J’ai 3 enfants qui courent toujours partout, sur la plage avec le monde il est difficile de garder un œil sur eux en permanence, que faut-il faire pour éviter de les perdre, et si cela arrive?

C’est aux parents d’apprendre aux enfants les règles de sécurité et de vie ainsi que les règles de baignade : il ne faut pas courir au bord des piscines par exemple.

Dans les zones naturelles, l’important est de se baigner dans des zones de sécurité et donc surveillées. Les postes de secours sont équipés de haut-parleur pour diffuser le message de disparition.

Pour commencer, il ne faut pas s’affoler ou chercher l’enfant soi-même car c’est une grosse perte de temps. Dès que vous voyez que l’enfant est perdu il faut essayer de prendre immédiatement des personnes qui sont autour de vous, donner la description la plus  complète de l’enfant qui a disparu, c’est-à-dire la taille, le sexe, la couleur des cheveux, la longueur des cheveux et surtout comment il est habillé de manière à agrandir la zone avec les proches et ensuite prévenir le poste de secours le plus proche le plus vite possible. Les sauveteurs nageurs vont rechercher avec les jumelles, et si le temps passe sans succès, nous faisons appel aux forces de police ou de gendarmerie ou les sapeurs pompiers.

Dans 98% des cas l’enfant est retrouvé dans les 5 premières minutes.

Il est rare que l’enfant parte très loin, soit il a vu un copain ou des jouets, soit il a été attiré mais il reste dans un périmètre restreint.

Quand l’enfant est en âge de comprendre, il faut bien lui expliquer les points de repères, soit la couleur du parasol, ou bien expliquer que s’il venait à arriver quelque chose, il y a un poste de secours avec un drapeau et qu’il faut qu’il aille vers le drapeau.

Dans tous les postes de secours de la SNSM, nous proposons des bracelets gratuits pour les enfants qui sont en âge de marcher sur lesquels vous pouvez noter le nom, prénom, et le numéro de téléphone des parents.

En principe toutes les plages en bordure de territoire français sont des plages surveillées. Sur le site des préfectures ou des communes, les plages surveillées avec les postes de secours sont disponibles.

Sur le domaine fluvial, peu de lacs sont surveillés, et sur les rivières le risque d’accidentologie est bien plus élevé.

Avec les lâchés d’eau des barrages des montagnes le niveau d’eau peut monter de plusieurs mètres en quelques secondes, donc il ne faut pas se baigner dans les endroits sauvages.

3) Mes enfants adorent s’enterrer dans le sable mais on m’a dit que ça pouvait être dangereux. Est-ce vrai ? Y-a-t’il un risque de déshydratation, d’insolation ou de coup de chaleur ? Dois-je prendre des précautions avec mon bébé ?

C’est très dangereux. Si la personne s’allonge et que l’on fait des petits tas de sable dessus il n’y a pas vraiment de danger mais si la personne commence à creuser un trou et à s’enterrer, c’est extrêmement dangereux.

Tous les ans, il y a des morts par éboulement et par étouffement.

Lorsque des personnes creusent un trou il y a un risque d’être enseveli après un éboulement.

L’autre danger c’est l’étouffement, notamment pour les adolescents qui creusent des trous très profonds et ensuite qui s’enterrent. La pression du sable exercée sur les poumons le compresse et empêche de respirer.

Le coup de chaud n’est donc pas le risque principal. Le coup de chaud c’est lorsqu’une personne commence à avoir trop chaud et n’arrive plus à réguler son corps. Elle commence alors à se déshydrater. Il peut arriver n’importe où, il n’est pas indispensable d’être au soleil, ils arrivent souvent dans les lieux confinés comme pour les personnes qui travaillent dans les services techniques des piscines municipales par exemple.

En cas de coups de chaud : il faut mettre la personne dans une pièce ventilée, et ensuite la réhydrater mais après avoir appelé le Samu (en appelant le 15) et avoir demandé des conseils au médecin régulateur, lui faire boire des petites quantités d’eau pour se réhydrater et lui l’humidifier avec un vêtement mouillé.

En cas d’hésitation il faut appeler le numéro 15 parce que le médecin régulateur du Samu va vous conseiller et estimer la situation en contactant les pompiers le cas échéant.

Les coups de chaud ne sont pas anodins, pour les sportifs de haut niveau, il y a des risques de décès.

C’est pourquoi il faut bien réhydrater les enfants qui sont sous des parasols pour éviter des coups de chaleur. La déshydratation est un paramètre du coup de chaleur.

Les coups de chaud peuvent être très dangereux si on ne sait pas le détecter, si on ne sait pas le traiter.

La différence avec l’insolation c’est qu’il y a eu un contact direct avec le soleil donc une chaleur beaucoup plus importante. La température de la personne va augmenter au-delà de 37,5 degrés et l’aspect régulé du corps va être complètement anarchique.

Pour ce qui est de bébé, il est très sensible donc les règles sont :

  • Ne pas le mettre entre midi et 16h à l’exposition du soleil et le garder pendant ces horaires dans des lieux ventilés à l’intérieur.
  • Lorsque vous le sortez à l’extérieur, toujours le protéger complètement à l’abri du soleil (mettez-lui un T-shirt mouillé et hydratez-le énormément)

Normalement un bébé ne doit pas être en contact direct avec le soleil. Mais s’il est en contact avec le soleil, il doit être protégé avec une crème solaire intégrale avec des indices de protection minimum de 50. Une crème à acheter en pharmacie et pas en grande surface ou sur internet.

4) Cette année nous allons voir l’océan pour la première fois. Que faire si on se retrouve piégé par la mer qui monte ?

L’océan ne monte pas à une vitesse grand V à part à des endroits particuliers comme le Mont Saint Michel.

Mes conseils :

  • Il faut se renseigner sur les horaires de marée.
  • En vacances, il faut se renseigner auprès de l’office du tourisme
  • Se baigner dans des endroits sécurisés et surveillés par les sauveteurs nageurs chargés de faire de la prévention à la baignade

En suivant ces conseils il y a peu de chances d’être surpris par la marée, seule exception la baie du Mont Saint Michel, et notamment pendant les grandes marées avec des gros efficients, où la mer monte très vite. Là aussi renseignez-vous auprès de l’office du tourisme.

Article lié : Que faire en cas de fièvre chez son enfant ? Mes 9 conseils pour faire baisser la température

5) Comme chaque année, mon angoisse ce sont les méduses… Que faire en cas de piqûre de méduse?

Tout d’abord il faut relativiser la présence des méduses dans l’océan et la mer méditerranée, car sans les méduses il ne pourrait y avoir de tortues marines.

Les méduses ont des filaments avec un produit très urticant si on les touche .

Il y a énormément de variétés de méduses, et sur les côtes françaises elles ne sont pas dangereuses. Elles sont urticantes mais pas dangereuses, c’est-à-dire que dans un premier temps vous allez être saisi d’une forte brûlure avec une envie de se frotter. Cela reste douloureux.

Il va falloir essayer de retirer la partie gluante, urticante, en la grattant avec du sable et le rincer abondamment avec de l’eau de mer.

On met un peu de sable en se protégeant la main pour éviter de toucher la glue et l’on frotte délicatement.

Ensuite l’idéal est d’aller dans un poste de secours dans lequel on va vous appliquer une pommade apaisante (onctose) pour réduire la sensation de brûlure.

Attention tout de même, on ne s’improvise pas médecin en mettant soi-même des crèmes. Dans le doute il ne faut pas hésiter à appeler le 15 qui nous répondra en quelques secondes.

Sur la côte basque atlantique, il existe tout de même très très rarement des méduses très paralysantes. Il s’agit des méduses physalis qui peuvent être dangereuse puisque la paralysie peut empêcher la personne de se noyer. Là encore inutile de paniquer inutilement, il n’y a eu que 2 cas mortels en 30 ans.

En revanche contrairement au mythe il est inutile d’uriner dessus.

Cela fonctionne pour les vives, ces petits poissons des côtes françaises dans les endroits où le sable est assez fin. Ces poissons sont posés sur le sable et injectent un venin lorsque l’on marche dessus. Il s’agit d’un venin thermolabile et il faut donc simplement tremper le pied dans de l’eau chaude pour détruire le venin (minimum 45 C°) pendant 3 à 4 minutes. Les postes de secours sont désormais équipés d’eau chaude pour ce genre de cas.

L’avantage de la vive est qu’il n’y a pas d’effet secondaire comme les allergies avec une guêpe par exemple.

L’urine étant chaude, les marins pêcheurs des chalutiers avaient souvent recours à cette méthode en hiver.

6) Comment savoir où se baigner et si le courant est dangereux ?

Comme déjà dit, se baigner dans des zones surveillées avec des postes de secours (pour cela il faut se renseigner à l’avance) et surtout respecter la couleur du drapeau (rouge, jaune orangé ou vert). N’hésitez pas à vous rapprocher des sauveteurs pour demander un renseignement ou vous informer.

7) Un site à nous conseiller pour apprendre à nager à nos enfants ? Et des formations premiers secours pour les parents ?

Pour apprendre à nager aux enfants il n’y a qu’une seule solution : passer par des personnes compétentes et agrées c’est-à-dire des personnes titulaires du diplôme d’état de Maître-nageur sauveteur, seul diplôme en la matière.

Il faut donc aller dans les piscines en vous renseignant bien sur les diplômes de la personne car il faut faire attention à tous ces phénomènes de coach qui sont très en vogue qui n’ont pas forcément les compétences requises. La personne qui donne des cours est dans l’obligation de présenter sa carte professionnelle ou son diplôme.

Pour l’âge tout dépend des aptitudes de l’enfant. Certains sont précoces et peuvent apprendre à nager vers 4 ans en moyenne pour les plus jeunes. Sinon vers 6/7 ans maximum pour des raisons de sécurité. Inutile de braquer un enfant, l’envie va venir ne serait-ce qu’en regardant ses copains déjà, mais il n’est pas nécessaire de le forcer.

Il faut savoir que l’Éducation nationale a un programme d’apprentissage de la natation qui est obligatoire pour toutes les écoles françaises.

Pour le secourisme il n’y a qu’un seul diplôme : le Premier Secours Civique de niveau 1 (PSC1). La formation se fait sur 1 ou 2 journées avec un temps de formation de 7h à 9h maximum. Cette formation délivre une attestation de formation aux premiers secours en équipe. Ce sont les notions de secourisme de A à Z : appeler les secours, faire un bilan sur une victime, travailler sur un adulte, un enfant ou un bébé. Ce n’est pas spécifique à l’eau, on y voit les brûlures, les fractures…

Ce diplôme est acté à vie mais il est vrai que l’on occulte des gestes au fil des mois. Depuis le 18 janvier 2018, un texte du ministère de l’Intérieur qui incite à faire une formation continue chaque année de 3h.

La formation initiale est donc de 7h puis il est préconisé de faire 3h chaque année.

Attention là aussi aux associations qui vendent ces formations hors de prix ! Le mieux est d’aller voir la liste des associations agrées sur le site internet de la Préfecture.

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Marcel est maître-nageur sauveteur. Il a 57 ans et a obtenu son diplôme d’Etat de maître-nageur sauveteur à l’âge de 18 ans.

Contacter Romain :

N’hésitez pas à consulter également le site Graines de sauveteurs.

Pourquoi avoir choisi ce métier ?

Tout ça remonte à la nuit des temps. J’ai toujours été attiré par le milieu marin. Je suis un plongeur. A 4 ou 5 ans j’avais un masque puis j’ai eu des passions comme la pêche sous-marine que je pratique toujours et ensuite tout a été lié au sauvetage. A partir de 16 ans j’ai décidé d’être sauveteur. J’ai passé mon diplôme d’état de maître-nageur sauveteur quand j’avais 18 ans et j’étais moniteur de secourisme à 17 ans. J’ai pourtant fait des études de comptable sur recommandation de la conseillère d’orientation mais c’est le sauvetage qui m’intéressait. Dans les années 80, la police proposait la spécialité de maître-nageur sauveteur que j’ai intégré.

J’ai fini comme conseiller technique au niveau de la police nationale des sauveteurs pour la région méditerranée. Aujourd’hui je suis à la retraite et je m’occupe au niveau associatif de la Société nationale du sauvetage en mer qui est une association qui assure le sauvetage uniquement en mer et se compose uniquement de bénévoles.

A côté je suis également moniteur de secourisme, plongeur… Tout ce qui est du sauvetage.

Le mot de Marcel

Méfiez-vous des associations qui vendent des formations de secourisme hors de prix et soyez vigilant au niveau des diplômes pour les cours de natation.

Ne prenez pas de risques inconsidérés, faites preuve de bon sens et de logique, et baignez-vous dans des endroits surveillés.

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Commentaires

  1. Bébé est arrivé !
    25 juillet 2018 / 12 h 07 min

    Excellent article Julie !

    • Julie Olk
      Auteur / autrice
      5 août 2018 / 10 h 08 min

      Merci et surtout merci à lui de s’être prêté au jeu des questions 😉

  2. WorkingMutti
    25 juillet 2018 / 12 h 07 min

    Effectivement on voit parfois des parents qui lisent un bouquins alors de que des jeunes enfants (moins de 5 ans) sont les pieds dans l’eau et risquent d’aller plus loin. La plage quand on est parents c’est loin d’être farniente. Mieux vaut alterner avec le papa ou d’autres adultes pour vraiment profiter.

    • Julie Olk
      Auteur / autrice
      5 août 2018 / 10 h 08 min

      Oui alterner est une très bonne solution 😉

  3. Virginie Neleditesapersonne
    25 juillet 2018 / 3 h 07 min

    Super rappels et on apprend des choses ! Merci pour cet article très instructif !!

    • Julie Olk
      Auteur / autrice
      5 août 2018 / 10 h 08 min

      Merci 🙂
      Je trouve aussi que les réponses de ce maitre nageur sauveteur sont de grande qualité 👍

  4. Madame Bobette
    25 juillet 2018 / 10 h 07 min

    Très intéressant! Le rappel de ces règles sont indispensables à cette période! Merci 🙂

    • Julie Olk
      Auteur / autrice
      5 août 2018 / 10 h 08 min

      Oui je trouve que c’est très instructif surtout en plein été 🙂

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